T’ang l’obscur est le fruit d’une amitié, celle liant l’écrivain
Marc Alyn au peintre T’ang Haywen, fruit mûri au soleil
d’une fidélité à toute épreuve, même après la mort. Le peintre chinois, arrivé en France en 1948 est en effet décédé en 1991. La capacité d’écoute absolue de son ami resté sur terre est un véritable prodige. [...] A découvrir dans le dernier numéro de l'Incorrect et en ligne pour les abonnés.
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