Cette rentrée, Emmanuelle est sur toutes les lèvres, livre ou film. L’héroïne érotique softcore, véritable tiroir-caisse des années 70, reprend du service, idéale en nos temps «?d’empouvoirement féministe?». Tandis que Camille Moreau se livre à la «?biographie d’un pseudonyme?», sous-titre de son Emmanuelle Arsan paru avant l’été aux éditions la Musardine, Audrey Diwan réussit son second film, remake du film de Just Jaeckin, (l’Emmanuelle de 1974), après un pourtant désastreux L‘Evénement (d’après l’inénarrable Annie Ernaux).
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