Car le Fabo travaille dur toute l’année pour reprendre la France des griffes soixantehuitardes, il s’octroie en bon Français, un repos estival bien mérité. Mais se prélasser sur la plage nécessite néanmoins un accoutrement digne de son rang. Un pour le fabo, un pour la fabette. Chacun le sien dans sa valise aussi rangée que genrée. [...]
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