Au sein de la nouvelle religion féministe, le patriarcat est le fantasme central, un des mythes fondateurs, un totem leur permettant de repousser quiconque s'approcherait, et en lieu et place du Christ, la femme incarne la pureté du martyr sur la croix, victime de ce fameux patriarcat fantasmé. La femme ne peut avoir que des effets positifs sur le monde. Aucune erreur, aucune méprise, aucune faiblesse. La femme au pouvoir ne peut être que juste, clémente, vertueuse et pacifique (mais que dire de Margaret Thatcher, Isabelle la Catholique, Ranavalona, Wu Zetian, etc)...
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !