Formé dans les années 50 à la Nikkatsu où il réalise une flopée de séries B, Seijun Suzuki impose très vite un style expérimental et baroque qui culminera avec La Marque du Tueur, œuvre désormais culte mais qui lui vaudra d’être licencié par sa boîte de production. Sa faute : avoir commis une sorte de polar abstrait, contemplatif et presque muet. Suzuki revient en 1980 sur le devant de la scène grâce à un jeune producteur qui lui propose d’adapter un roman à succès se déroulant pendant l’ère Taisho (1912-1926).
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