La peinture de Joachim van der Vlugt ne raconte rien, elle vous noie lentement. L’objectif sera donc de s’y perdre. Nous y pénétrons comme en passant d’un voile à un autre, d’une transparence à une autre, à l’infini. Le regard ne cesse de découvrir davantage et le tableau ne cesse ainsi de se renouveler. C’est que le peintre a multiplié les couches. Pendant des mois, il travaille sur ses grands tableaux, l’œuvre finale paraissant presque moins importante que le processus de création dont elle témoigne. [...]
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