Skip to content

Le nouveau monde LGBT (3/3) : l’homme grand-remplacé, la civilisation en danger

Par

Publié le

18 juillet 2022

Partage

En s’efforçant de faire disparaître l’homme et la nation, le lobby LGBT multiplie les « identités-ayant-droit-à », parfaitement solubles dans le marché globale. Troisième article d’une série de trois.
lgbt

L’éco-socialisme et l’écoféminisme (qui inclut les transsexuels) se perçoivent en tant que nouvelle « avant-garde » et nouveau « phare de l’humanité ». Qui retrouve-t-on parmi les « femmes inspirantes » qui ont marqué 2019 selon Marie-Claire ? Que de jolies frimousses innocentes et juvéniles, à qui nous aurions donné le bon Dieu sans confessions, disait-on autrefois, mais qui s’avèrent de redoutables viragos. « How dare you ! » hurle la jeune activiste Greta Thunberg, la chanteuse Angèle qui dit « Non, cest non » point barre, à la différence de la poupée de Michel Polnareff à qui personne n’avait « jamais appris quon pouvait dire oui ». Cela étant la chanteuse belge a depuis fait son coming out sur Instagram : elle est en couple avec une certaine Marie Papillon.

Mais on trouve encore l’actrice Emma Watson, 30 ans, qui pour valoriser le célibat préfère parler de « partenaire de soi-même », heureusement pour elle, la pauvre file désormais le parfait amour avec Leo Alexander Robinton, un entrepreneur californien de 30 ans ; la brésilienne Valentina Sampaio, mannequin transgenre pour Victoria’s Secret ou Adèle Haenel, icône en robe du soir de la mutinerie des enfants gâtés du cinéma français lors de la cérémonie des César, qui se revendique lesbienne. Voilà donc les rôles modèles proposés aux jeunes filles. Le père tué, le mari exclu, l’homme remplacé. Aujourd’hui la soi-disant loi de « bioéthique » qui va permettre cette monstruosité qu’est la fabrication d’orphelin de père en toute conscience, est-elle un pas supplémentaire vers un soi-disant « meilleur des mondes possibles », un Rainbow new world ? Comment mieux contribuer à l’extinction de la civilisation, si ce n’est de l’espèce humaine ?

La menace n’est pas vraiment perçue parce que la multiplication des « identités-ayant-droit-à » semble à droite soluble dans le marché pour les managers globalistes qui n’y perçoivent qu’une nouvelle segmentation marketing ; quant aux animateurs de gauche du globalisme, ils n’y voient qu’une demande de « droit à la différence » soluble dans le relativisme culturel. Pourtant cette menace aurait un caractère irréversible dès lors qu’elle s’institutionnaliserait en principes de gouvernance globale d’institutions supranationales. [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

EN KIOSQUE

Découvrez le numéro du mois - 6,90€

Soutenez l’incorrect

faites un don et défiscalisez !

En passant par notre partenaire

Credofunding, vous pouvez obtenir une

réduction d’impôts de 66% du montant de

votre don.

Retrouvez l’incorrect sur les réseaux sociaux

Les autres articles recommandés pour vous​

Restez informé, inscrivez-vous à notre Newsletter

Pin It on Pinterest