« Une seule chose lui importa : conserver le pouvoir pour en user selon son bon plaisir. De ce point de vue, il fut le premier président hédoniste de la Ve République, mais à sa manière, retorse et perverse. « Il n’aime rien tant que fixer une règle de conduite personnelle ou collective pour la violer aussitôt, de préférence secrètement » rappelait Paul Yonnet. Ainsi, « Tonton » s’indigne l’après-midi aux côtés d’Harlem Désir sur la scène d’un concert de SOS racisme pour mieux dîner le soir même avec René Bousquet. François-la-francisque, ce frémissant gourmet ! »
A découvrir dans le dernier numéro de L’Incorrect et en ligne pour les abonnés
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !