Comment les féministes occidentales peuvent-elles être en faveur de l’islam, ou à tout le moins ne jamais oser critiquer la place de la femme dans la religion musulmane ? Pourquoi une telle détermination à combattre les regards appuyés du quadragénaire blanc à la drague pataude mais un silence gêné lors de l’affaire Mila ? C’est avant tout une histoire de messianisme, comme expliqué dans un autre article. Dans l’idéologie féministe, il y a un discours aux relents marxistes : opprimés de tous les pays unissez-vous, ou pour les intimes : opprimés par l’affreux mâle blanc hétéro unissez-vous. Dans cette pensée, le musulman fait partie des opprimés, il est aussi confondu avec ceux qu’elles dénomment les « racisés » (comprendre les Noirs et les Maghrébins), et critiquer l’islam revient dans leur cerveau à critiquer un opprimé. Il y a une cohérence dans l’incohérence, ainsi pour elles critiquer l’islam revient à être raciste. Ne me demandez pas pourquoi, c’est comme ça. Alors, voilà nos chères féministes prises dans l’étau de leurs dissonances cognitives, étant réduites à jongler dans des exercices d’équilibristes pour maintenir un semblant d’unité.
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