Netflix sort (enfin !) la saison 2 de sa mini-série Love Death & Robots. La première saison rassemble dix-huit films d’une quinzaine de minutes chacun. Aucun lien entre eux, mis à part le thème : la science-fiction. On se croit plongé dans des brèves de K. Dick ou de Bradbury : des univers esquissés servent de toile de fond à des intrigues chargées, drôles ou dérangeantes – voire très perturbantes. Loin de notre monde, et pourtant : le genre SF se prête excessivement bien aux questions les plus fondamentales, telles que l’altérité extrême, ou le rapport à l’intégrité du corps.
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