Mélenchon nous a offert hier une séquence de rêve. Après avoir vomi la soi-disant extrême droite antisémite, et les Français qui préfèrent « maltraiter les musulmans » plutôt que de se soucier de la transition écologique et du rétablissement de l’ISF, le voici qui part complètement en vrille islamo-complotiste : « Vous verrez que dans la dernière semaine de la campagne présidentielle, nous aurons un grave incident ! Ou un meurtre ! Alors ça a été Merah en 2012, ça a été l’attentat la dernière semaine sur les champs Elysées ! Vous vous rappelez de tout ça, c’était la dernière semaine. Avant on avait eu Papy Voise, dont plus personne n’a jamais entendu parler après. Tout ça c’est écrit d’avance, nous aurons le petit personnage sorti du chapeau, l’évènement gravissime qui va une fois de plus permettre de montrer du doigt les musulmans et d’inventer une guerre civile ! Voilà c’est bateau tout ça ! »
À la suite de cette déclaration et après le tollé qu’elle a suscité, Mélenchon n’a rien trouvé de mieux que d’accuser Le Figaro et Le Parisien d’être, eux, d’ignobles complotistes. Sauf que les articles en question font état de la façon dont les attentats peuvent renverser les pronostics d’une élection, mais ne remettent jamais en cause le caractère terroriste d’un attentat. Contrairement à l’islamo-collabo le plus zélé de France qui ne voit dans les attentats que nous subissons depuis dix ans que des « meurtres », des « tueries », des « drames ». En 2012 après que le terroriste Merah a assassiné sept personnes dont trois enfants juifs à bout portant, il tweetait ceci : [...]
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