Revoir Mulholland Drive, vingt ans après sa sortie permet de constater qu’il n’a pas pris une ride. Au contraire, c’est devenu un classique, et comme tous les classiques, il parle à toutes les époques avec la même vigueur. On ne reviendra pas sur la maîtrise formelle hallucinante, ni sur cette construction dramatique qui fait s’emboîter les niveaux de réalité et n’a de cesse de dialoguer avec son propre médium : le cinéma entrevu, littéralement, comme une clé des songes. […]
Lire aussi : La Beauté du monde : touchant mais délayé
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !