Skip to content

#NoHijabDay : la présidente du collectif Némésis placée en garde à vue

Par

Publié le

31 janvier 2021

Partage

Les féministes du collectif Némésis étaient rassemblées ce matin à 8 heures place du Trocadéro sur le Parvis des libertés. Affublées chacune d’un voile intégral, elles ont dénoncé le « World Hijab Day », jour international de solidarité avec les musulmanes supposément opprimées en Occident.
nemesis

Les filles arrivent par vagues, afin de ne pas être trop remarquées. Certaines viennent de province et se sont levées en pleine nuit. Elles attendent que le jour se lève et se préparent à enfiler leur voile intégral à usage unique, cousu spécialement pour l’occasion (hors de question d’acheter cinquante niqabs dans une boutique islamique). Alice, la présidente de Némésis, guette néanmoins l’arrivée de la police. Elles seront finalement une cinquantaine sur le Parvis des libertés du Trocadéro pour dénoncer le #WorldHijabDay, jour de solidarité internationale avec les femmes voilées supposément victimes d’oppression en occident, où des femmes se postent voilées sur les réseaux sociaux. L’événement qui a lieu chaque 1er février depuis 2013, est soutenu par Sciences Po.

Le but des Némésis est au contraire de dénoncer la dégradation flagrante des conditions de vie des femmes européennes, dégradation causée par l’immigration massive et souvent illégale d’hommes extra-européens majoritairement musulmans. Elles dénoncent le quotidien des femmes qui oscille entre « sale pute, je vais te violer » et les agressions sexuelles de plus en plus fréquentes. On se souvient de l’affaire du réfugié bangladais récidiviste acquitté en 2018 par la Cour d’assises de la Manche du viol d’une jeune fille de 15 ans, parce qu’il ne disposait pas des « codes culturels » et qu’il ne pouvait donc pas maîtriser la notion de consentement. Pas plus tard que l’été dernier à Angers, une étudiante de 20 ans a été séquestrée, battue et violée durant plusieurs heures par un migrant kosovar multirécidiviste déjà « interdit de territoire », mais non-expulsable. Selon le ministère de l’Intérieur, pour l’année 2018, 63 % des auteurs d’agressions sexuelles dans les transports en commun d’Île-de France, étaient des étrangers. [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

EN KIOSQUE

Découvrez le numéro du mois - 6,90€

Soutenez l’incorrect

faites un don et défiscalisez !

En passant par notre partenaire

Credofunding, vous pouvez obtenir une

réduction d’impôts de 66% du montant de

votre don.

Retrouvez l’incorrect sur les réseaux sociaux

Les autres articles recommandés pour vous​

Restez informé, inscrivez-vous à notre Newsletter

Pin It on Pinterest