Peu enclin à être sacrifié en hommage à Lilith ou à atterrir dans la marmite d’un pot-au-feu sabbatique, je me suis dit qu’il serait plus sage de me rendre à un vernissage autour du thème des « sorcières et du chamanisme » organisé par la galerie La Papesse à Toulouse. Dès mon arrivée dans cette petite galerie d’art sur deux étages, quelques toiles m’ont interpellé. Représentant la déesse indienne Kali dévorant des enfants ou écrasant des testicules d’hommes, les peintures affichaient une étrange couleur rouge tirant sur le marron. Signées Alison Flora, les peintures étaient réalisées à l’aide… de sang humain. Le sang de l’artiste qui se le prélève elle-même, comme me l’a confirmé la visite de son compte Instagram sur lequel on peut découvrir des dessins particulièrement malsains. Les visiteurs n’avaient quant à eux pas l’air
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