8 – « Pouvoir décider de sa fin de vie, c’est commencer à entrer dans une humanité radicale. »
Caroline Fiat (LFI), rapporteure de la commission spéciale pour l’examen du projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie
7 – « Nous avons à écrire une grande loi de fraternité – la fraternité d’accompagner chacun jusqu’au bout du chemin. »
Olivier Falorni (MoDEM), rapporteur général de la commission spéciale
6 – « Nous avons l’occasion de porter sur la fin de vie un regard profondément humain. »
Didier Martin (Renaissance), rapporteur de la commission spéciale
5 – « Il s’agit ici de consacrer la liberté de l’individu contre tous les obscurantismes. »
Sandrine Rousseau (Écologiste)
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4 – « Un choix qui peut s’entendre comme un acte fraternel et solidaire. »
Laurence Maillart-Méhaignerie (Renaissance), rapporteure de la commission spéciale
3 – « Il n’y a pas d’obligation à vivre. »
Laurence Maillart-Méhaignerie (Renaissance), rapporteure de la commission spéciale
2 – « Parler de la fin de vie, c’est d’abord parler de la vie ; c’est aimer résolument la vie. »
Olivier Falorni (MoDEM), rapporteur général de la commission spéciale
1 – « Le choix de légaliser l’aide à mourir reste une façon résolue de défendre la vie. »
Agnès Firmin Le Bodo (Horizons), présidente de la commission spéciale