À l’époque où le Palais Garnier prit ses fonctions, l’opéra cessait déjà d’être grand. Musée ou mausolée, il venait abriter la mémoire d’un art en déclin. L’exposition « Le Grand Opéra (1828-1867) » vient nous rappeler cette histoire souvent ignorée, au risque de frustrer les processions de visiteurs qui gravissent l’escalier de marbre du foyer. Doit-on blâmer ces pneus géants, fussent-ils plaqués-or, que des marchands sans-gêne y ont installé, voire ces parties d’escape game qui s’y tiennent ? [...]
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