Dans une longue vidéo, elle s’en prenait au violeur Egountchi, porte-parole de la LDNA, dans des termes que nous sommes ici trop pudiques pour les retranscrire. Mais plus que tout, c’est le lent délitement de la société française, qui se regarde s’effondrer sous les coups de boutoir indigénistes, qui l’effare. Elle, dont chaque mot respire l’amour de la France, est terrifiée par la décadence de ce peuple pluri-millénaire qu’est le nôtre. « J’étais à Sarcelles l’autre jour… C’est comme si le train avait pris un tunnel entre Creil et l’Afrique. Le bruit, l’odeur, l’état délabrement. Même au Cameroun ce n’est pas comme cela », lâche-t-elle, encore incrédule devant ce qu’elle a vu. [...]
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