Ces grands barnums élevés cycliquement dans le paysage mondial ne servent peut-être qu’à ça : étouffer le bruit de la guerre. Couvrir le ronronnement des caisses-enregistreuses et le claquement des balles pendant quelques semaines. Et bien-sûr, éventrer ce qui reste de nos nations « souveraines », leur faire cracher leur derniers billets, leur faire ouvrir en deux […]
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