Les distributeurs français ont le chic pour tronçonner ou agglutiner les œuvres japonaises aux durées hors-normes, généralement soporifiques (Senses) ou abracadabrantes (Shokuzai). Entre les deux, The Real thing de Kôji Fukada devient un diptyque à titre malin: Suis-moi je te fuis / Fuis-moi je te suis. Un jeune salaryman rencontre une paumée passive – agressive qui va dévaster sa vie, notamment le couple secret qu’il forme avec une collègue. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !