En 2016, Paolo Sorrentino sort The Young Pope. Les modernes piaffent, les cathos tremblent, les bandes-annonces habilement distillées suggèrent un pape jeune, moderne et en crise de foi, interprété par Jude Law. En ouverture, Pie XIII fraîchement élu déclame un discours place Saint-Pierre qui se révèle être une ode à la masturbation, à l’avortement, aux unions homosexuelles, à l’euthanasie, aux femmes prêtres, à la PMA… Bref, un pontificat open-bar. De quoi donner envie à Cohn-Bendit de postuler dans une crèche, à la Suède de proposer l’asile au Vatican et à Frédéric Martel de devenir secrétaire particulier du successeur de Pierre (voire plus si affinités). Un son de tuyauterie et un plan sur la place vide plus tard, Pie XIII se réveille en sueur et vire le préfet de la Congrégation pour le clergé parce qu’il est homosexuel. Bienvenue dans The Young Pope ...
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