Confortablement lovée entre E. et Lucien dans un canapé assez monumental pour lui permettre de respecter les « gestes barrière », Zo’, à qui leur hôte venait de servir un moka aux arômes éblouissants, se mit à se tortiller tel un vermisseau pris au piège, comme à chaque fois qu’elle ne pouvait accompagner son café noir d’une de ses épouvantables cigarettes mentholées. Retrouvez la suite dans le numéro 32 de L'Incorrect
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