Oubliées après leur composition (1885-87), c’est en 1903 que les “Ariettes” tirées de Verlaine revoient le jour après une profonde révision, où Debussy maintient l’accompagnement du piano. Plusieurs admirateurs posthumes se chargeront de l’orchestration, jusqu’à notre contemporain Robin Holloway, compositeur « néo-romantique » anglais, qui est allé plus loin dans la tâche. Non content de […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !