Lui-même reconnaît volontiers qu’il ne saurait absolument pas se définir, ni hiérarchiser un minimum ses activités : « Peut-être polyvalent », tente-t-il, avec une moue mi-désabusée mi-rieuse qui dément la moindre tentative d’effort et la moindre once d’investissement mental pour se trouver un qualificatif. Cette profusion d’activités est l’assurance d’intéresser rapidement l’interlocuteur, mais aussi celle de n’avoir jamais qu’une partie de son attention. « En France, si vous pratiquez plusieurs activités, vous n’êtes jamais pris au sérieux. Quoi que vous fassiez, vous êtes considéré comme un amateur et votre œuvre est appréhendée comme le travail d’un amateur », regrette-t-il.
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