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Le fabo – pour ceux qui n’ont pas (encore) lu le numéro d’été, il s’agit donc de vous, de nous, bref de l’extrême ultra drouate version bohême d’après nos confrères chargés de conscience – le fabo baisse les armes lorsque Noël approche.
Non pas pour se reposer de ses rudes batailles contre les gauchistes, les bourgeois, les islamistes, les végans, les animalistes, les LGBT et autres ennemis sans voyelles ; pas parce que rien n’est plus épuisant que Noël même sans gastro ; mais pour se revigorer l’âme, le cœur et le foie. Encore faut-il y parvenir car un Noël fabo, c’est-à-dire un Noël réussi, demande de l’anarchie ordonnée, un flegme exigeant, une ivresse élégante, bref tout mais pas n’importe quoi, et surtout pas de barbus en rouge même si eux nous veulent du bien, à condition de respecter scrupuleusement quelques consignes. Pour que Noël ne soit ni un solstice d’hiver, ni une teuf de libres penseurs constipés et encore moins une fin d’année, et parce qu’on ne débaptise pas le royaume de France à coups de catalogue de jouets non genrés, voici donc, chers fabos, quelques conseils précieux pour que Noël reste Noël.
Pour fêter Noël dignement :
- La messe de Noël du fabo
- Les cadeaux de Noël du fabo
- La playlist de Noël du fabo
- Le repas de Noël du fabo
- Les habits de fabo et fabette
Arthur de Watrigant
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