Depuis ma jeunesse héroïque, j’ai connu diverses époques dans l’art de faire ses courses. Au début nous allions chez madame Denay, tenant épicerie dans le bourg, à droite de l’église. Ensuite un supermarché s’est implanté à une dizaine de kilomètres. Enfant des trente piteuses j’ai ensuite connu la dégringole d’une classe sociale : le supermarché est devenu un luxe, nous nous rabattîmes donc sur un Lidl. Mais Lidl c’est devenu le haut du caddie du hard-discount. On a donc fait quelques kilomètres de plus pour aller à Leader Price. [...]
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