Non contente de s’envoyer des soupes de chauves-souris et de nous balancer dans les pattes une crise sanitaire bien sentie, la Chine peut également se vanter de nous sortir de nulle part des polars passionnants et radicaux. À la fois sec et contemplatif, porté par une photographie à tomber par terre, ce Lac aux Oies Sauvages est un voyage crépusculaire dans une Chine post-urbaine et remplie de ruines hantée par sa fracture sociale. Le réalisateur Diao Yinan livre ici un parfait (...)
A découvrir dans le dernier numéro de L'Incorrect et en ligne pour les abonnés
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !