La thèse du livre est simple, de Gaulle est un géant, Mitterrand est un microbe. « Le premier donne sa vie pour sauver la France ; le second donne la France pour sauver sa vie ». La formule est répétée tout au long des 400 pages avec différentes variantes. L’attaque est si grossière et caricaturale qu’on referme le pamphlet avec l’envie assez paradoxale de défendre le président socialiste. Un comble. Onfray, qui choisit ses anecdotes avec soin, manie le manichéisme comme jamais.
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