Zulawski, le Polonais fou, incarne cette époque oubliée où le cinéma français pouvait se permettre à peu près n’importe quoi, pour le pire comme pour le meilleur, mais toujours avec l’envie d’en découdre avec la morale ou le bon goût. Connu pour ses crises de colère et pour ses accès tyranniques envers ses acteurs, Zulawski a laissé pas mal de croûtes mais aussi quelques chefs-d’oeuvre comme L’Important c’est d’aimer, brûlot à la fois misanthrope et à fleur de peau. [...]
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