problèmes pourtant : outre l’insistance pénible sur le critère biologico-ethnique, l’institut ne pense que « l’Europe » et fait de son « combat prioritaire » le refus de l’universel ; combat déroutant s’il en est puisque cette prétention à l’universel est précisément une tradition européenne ; déroutant encore pour quiconque défend l’imbrication communautaire, car le genre humain n’est autre que la plus grande des communautés, et que l’appréhender n’implique aucunement l’uniformité – en plus d’être inévitable pour résoudre certaines questions, dont l’environnementale. [...]
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