Le film autobiographique féminin : un genre de niche qui contre toute attente nous délivre coup sur coup quelques bobines implacablement belles. Après l’inoubliable The Souvenir de Joanna Hogg, c’est au tour de Valeria Bruni-Tedeschi de se livrer à l’exercice de la nostalgie sur une partition quasi-similaire : une formation artistique dans les années 80, un premier amour forcément violent et tourmenté, et l’omniprésence de la toxicomanie – parfaite pour coller un peu de tragédie dans un âge d’or.
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