Dans le Costa Rica profond, un veuf pas commode résiste à l’expropriation menée par une société d’autoroutes, cependant qu’un brouillard fantastique doté d’une voix de femme s’insinue partout. Domingo et la brume ressemble à un modèle déposé de film d’auteur sud-américain sous double influence d’Apichatpong Weerasethakul (Memoria) et John Carpenter. La sauvagerie y est maintenue latente par la torpeur et une succession de plans qui guettent en vain quelque chose dans l’invisible. [...]
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