Le monde de l’édition est devenu fascinant. Féminisé à outrance, son catalogue de doléances évoque une arrière-boutique de Marie-Claire : il suffit désormais de se baisser pour ramasser, dans toutes les grandes maisons, les fascinants reliquats de cette littérature ménagère qui semble être la norme – et ce depuis l’adoubement de la fumeuse Annie Ernaux, Nobel du roman sans estomac, sans poil, sans sueur, sans rien. Mais Annie Ernaux, chers amis, n’était qu’un hors-d’œuvre. Une mise en bouche. Rien ne vous préparé à ce qui va suivre : le dernier opus de Christiane Taubira, mérou officiel de la République sororolâtre. [...]
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