Un juge d’instruction inflexible débarque dans une ville d’Anatolie pour y remettre de l’ordre. Sur fond de crise de l’eau, il se retrouve mêlé à une sordide affaire de mœurs. Énième film sur la corruption en pays musulman, Burning days déporte intelligemment le sujet en faisant de l’enquêteur le point nodal de l’intrigue, celui par qui le scandale arrive. L’ambiance poisseuse et exténuée rappelle Wake in fright (Ted Kotcheff, 1971), tout comme l’amnésie post-cuite dont est atteint le héros (Selahattin Pasali, parfait). [...]
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