Dans Le Challat de Tunis, son premier et meilleur film, Kaouther Ben Hania se jouait des frontières entre fiction et réalité en documentant les faits supposés d’un criminel qui lacérait les fesses des femmes court vêtues. Les Filles d’Olfa relève d’un dispositif plus apparent encore puisque l’histoire des dites – belles comme le jour – et de leur mère est racontée par les concernées, secondées par plusieurs actrices figurant les sœurs absentes « dévorées par le loup » et une doublure d’Olfa pour les scènes émotionnellement trop dures. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !