près vous être lancé dans une suite romanesque, vous revenez au récit autobiographique, qu’est-ce qui vous y a poussé ?
Avec moi, c’est souvent une affaire de contrat. Je construis un projet de livre à partir du moment où un éditeur est intéressé. Dans le cas de Stanislas, c’est une idée qui m’a été commandée il y a longtemps. Je voulais raconter ma jeunesse par le biais des douze années, entre mes cinq et dix-sept ans, passées à l’école Stanislas. J’ai gardé un très mauvais souvenir de cette période, mais je ne souhaitais pas pour autant faire un réquisitoire. L’enfance est un sujet qui me paraît intéressant. On dit souvent que les récits sur l’enfance de personnes célèbres sont assommants : je ne suis pas d’accord. [...]
Avec moi, c’est souvent une affaire de contrat. Je construis un projet de livre à partir du moment où un éditeur est intéressé. Dans le cas de Stanislas, c’est une idée qui m’a été commandée il y a longtemps. Je voulais raconter ma jeunesse par le biais des douze années, entre mes cinq et dix-sept ans, passées à l’école Stanislas. J’ai gardé un très mauvais souvenir de cette période, mais je ne souhaitais pas pour autant faire un réquisitoire. L’enfance est un sujet qui me paraît intéressant. On dit souvent que les récits sur l’enfance de personnes célèbres sont assommants : je ne suis pas d’accord. [...]
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