On pourrait débattre à l'infini de l'origine de l'attaque chimique de Douma. On pourrait discuter des preuves apportées par chacun, comme certains le font depuis les bombardements de la Ghouta en 2013 et celui de Khan Cheikhoun en 2017. Sur ce sujet, le scepticisme est sans doute la meilleure philosophie
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