Le 2 juin, après une motion de censure votée contre Mariano Rajoy, le président du gouvernement conservateur depuis 2011, le socialiste Pedro Sánchez devenait chef de l’exécutif. C’était la première fois depuis 1978 qu’une telle manœuvre parlementaire était couronnée de succès.
Depuis les grandes manifestations féministes du 8 mars dernier, le chef du gouvernement savait que la composition de son cabinet serait scrutée de près: il a donc désigné deux femmes pour un homme (record mondial), dont beaucoup sont placées à des postes-clés – Carmen Calvo à la vice-présidence, Margarita Robles à la Défense, María Jesús Montero aux Finances, Nadia Calviño à l’Économie, etc. Comme s’il voulait prendre le contre-pied du Conseil italien, Pedro Sánchez n’a cessé [...]
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