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Fausses accusations d’antisémitisme : Libé lance une cabale contre le candidat RN Joseph Martin

Ce lundi 17 juin, dans son article intitulé « Le Rassemblement national et ses candidats racistes, antisémites et complotistes » et rédigé par Pierre Plottu et Maxime Macé, le journal Libération jetait en pâture le candidat investi par le Rassemblement national dans le Morbihan, Joseph Martin, en l’accusant d’antisémitisme. À l’origine de cette accusation, un tweet datant du 22 octobre 2018, repris par Libération sans contexte, qui stipulait : « Le gaz a rendu justice aux victimes de la Shoah. »


À peine publié, l’article a été immédiatement repris par de nombreux journalistes et opposants politiques, comme Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste : « Il s’agit d’un candidat RN. La matrice du RN est le racisme et l’antisémitisme. Simple. Son soutien au Gvt Netanyahou n’est qu’une façon de se « blanchir » et de trouver un nouvel argument dans la guerre des civilisations qu’il entend mener contre les Français musulmans. Basic » ou encore Marine Tondelier, secrétaire nationale d’EELV : « Mesdames et Messieurs… Je vous présente Joseph Martin, candidat RN dans le Morbihan.

[Exclusif] Violences et menaces de mort : les plaintes contre La Jeune Garde et Raphaël Arnault

L’Incorrect a eu accès aux procès-verbaux de six plaintes déposées à l’encontre du collectif antifa La Jeune Garde entre 2022 et 2024 – plaintes qui constituent la partie émergée de l’iceberg, puisque toutes les victimes d’agressions de la part de La Jeune Garde et de Raphaël Archenault ne portent pas nécessairement plainte.

La plainte la plus récente date 14 juin pour « des faits de menace matérialisée par écrit, image ou autre objet de violences » et pour « violences subies ». La victime explique qu’il a été informé par des amis qu’une menace de mort à son encontre a été inscrite sur la statue Louis XIV de la place Bellecour de Lyon : « Pleure X tu pisseras moins dans ton chino ». Ce dernier explique surtout avoir été agressé le jour même avec sa fiancée et un ami à la gare de Lyon Perrache, où ils ont été pris à partie par un groupe d’une dizaine de personnes.…

Législatives : Hanane Mansouri, candidate de droite, victime d’un lynchage raciste

Mme Hanane Mansouri, a été désignée candidate de l’alliance des droites, dans le sillage d’Éric Ciotti, pour les prochaines élections législatives, dans la 8e circonscription de l’Isère. Aussitôt elle a été l’objet d’attaques virulentes lui reprochant notamment d’être « l’arabe de service », une « beurette », une « sale serpillère ».

Cet événement est le syndrome particulier du fonctionnement d’un principe révolutionnaire qui demeure inchangé depuis la Révolution française, que le communisme a repris à son service et que le libéralisme mondialiste a fait sien : l’idéologie définit a priori des catégories, non pas selon la réalité des choses, mais selon les buts qu’elle poursuit et qu’elle leur assigne.

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Ainsi, sous la Révolution française, le « citoyen » ou le « républicain » ne désignaient pas tout membre de la société nouvelle mais exclusivement ceux qui communiaient à l’idéologie dominante ou, à tout le moins, qui acceptaient bon gré mal gré d’y conformer leur comportement social.…

Législatives : l’antifa Raphaël Arnault, candidat du Front populaire, est fiché S

Le Front populaire s’enfonce un peu plus dans la honte en investissant un candidat fiché S aux élections législatives anticipées. Il s’agit de Raphaël Arnault, patron du collectif antifas « La Jeune Garde », connu pour ses actions violentes entre passages à tabac de militants de droite et actions coups de poing. Il sera parachuté dans la circonscription d’Avignon.

En effet, d’après les informations que L’Incorrect a pu se procurer et vérifier, Raphaël Arnault fait l’objet d’une fiche S pour « proximité avec la mouvance d’ultra-gauche radicale et susceptibilité de se livrer à des actions violentes » et considéré comme un individu « dangereux » par les services de police.

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Il a récemment fait parler de lui lors d’une altercation avec Mila, la jeune étudiante victime de harcèlement par des musulmans radicaux. Il a aussi menacé de mort la militante féministe Alice Cordier : « Cette bouffonne d’Alice Cordier qui repartage les Kurdes, j’ai un conseil à lui donner : qu’elle vienne là-bas, vers les Kurdes.

Arnaud Benedetti : « Le cordon sanitaire n’a jamais été aussi faible »

Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il dissous l’Assemblée nationale ?

J’ai toujours pensé que les germes de cette dissolution étaient inscrits dans les résultats des élections législatives de 2022. Le président disposait de la majorité la plus relative dont a pu disposer un gouvernement sous la Vème République. Sur la durée, vu la faiblesse de cette majorité, la dissolution était inéluctable.

On peut toutefois se demander si Emmanuel Macron pouvait retarder cette dissolution, en trouvant une autre fenêtre de tir. Il aurait par exemple pu la retarder s’il n’avait pas changé de Premier ministre en janvier dernier : il pouvait maintenir en poste madame Borne jusqu’à juin, puis en fonction des résultats des élections européennes, nommer un nouveau Premier ministre, ce qui lui permettait de rebondir sur l’échec et de gagner du temps. Or, en janvier, il a choisi un jeune Premier ministre, Gabriel Attal, utilisé comme arme pour contenir la poussée du RN porté par sa jeune tête de liste, Jordan Bardella.…

Européennes : dimanche, folle soirée pour le RN

Un vent de félicité souffle sur le parc floral de Paris en cette fin d’après-midi. L’hysope se mêle aux bulles de champagne dans une ambiance de Garden party. C’est ici que le Rassemblement national a décidé de réunir militants et journalistes pour fêter le score de la liste menée par Jordan Bardella.

Lire aussi : Dissolution de l’Assemblée nationale : Matignon vaut bien une coalition des droites

À 20 heures, le couperet tombe sur la majorité présidentielle qui obtient 14,6% des suffrages, plus de deux fois moins que le score du Rassemblement national : 31,4%. C’est l’exultation de joie dans la salle à 20h05 quand Jordan Bardella prend la parole. Dans la continuité des éléments de langage utilisés tout au long de la campagne, il réitère son souhait d’une dissolution de l’Assemblée nationale : « Le président ne peut pas rester sourd au message envoyé par les Français : nous lui demandons de prendre acte de cette nouvelle politique, d’en revenir au peuple français et d’organiser de nouvelles élections législatives », déclare-t-il devant ses militants.…

Dissolution de l’Assemblée nationale : Matignon vaut bien une coalition des droites

Il est à peine 21h et la figure d’Emmanuel Macron apparaît sur toutes les chaînes de télévision. Encore une fois. « Je ne saurai donc, à l’issue de cette journée, faire comme si de rien n’était. C’est pourquoi, après avoir procédé aux consultations prévues à l’article 12 de notre Constitution, j’ai décidé de vous redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote », annonce le président, le sourcil froncé et la mâchoire serrée. Ce qui n’était alors qu’une hypothèse farfelue devient bien réelle. L’Assemblée est dissoute.  C’est le branle-bas de combat. Surtout à gauche. Ils savent faire de la politique. De Sandrine Rousseau à François Ruffin en passant par des momies du Parti socialiste, tous emboîtent le pas du président : « La montée des nationalistes, des démagogues, est un danger pour notre nation, mais aussi pour notre Europe, pour la place de la France en Europe et dans le monde. 

L’Incorrect

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