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Affaire Bouhafs : LFI et l’art du mensonge intéressé

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Publié le

7 juillet 2022

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Il y avait un petit parfum de mensonge, le voilà confirmé par l’intéressé lui-même. Écarté en raison d’accusations d’agressions sexuelles, Taha Bouhafs confirme que c’est La France insoumise qui lui a suggéré de mettre son retrait sur le dos d’une campagne raciste de l’extrême droite. Récit.
Nupes

Durant les législatives, l’affaire Taha Bouhafs avait fait grand bruit. Déjà condamné pour injure publique en septembre 2021, il était suspecté d’être impliqué dans une affaire de violence sexuelle, et avait dû annoncer le retrait de sa candidature le 9 mai. Il avait alors expliqué se retirer à cause d’une prétendue campagne raciste de l’extrême droite. Quelques jours plus tard, on apprenait les accusations portées contre lui. Effectivement,  La France insoumise avait reçu des plaintes dès le 7 mai, et annonçait l’ouverture d’une enquête interne à son encontre le 11 mai. « La cellule n’a jamais reçu un témoignage avec des faits d’une telle gravité » déclarait alors Clémentine Autain.

Bouhafs accuse Autain

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