Lorsque je dis « Afrique du Sud », ça sent tout de suite bon les années quatre-vingt, les comités anti-apartheid dans les facs de gauchistes et « asimbonanga » qu’on gueulait au « New Beach Club » lors du quart d’heure américain, en pelotant des bonnes fermières au caractère culard déjà bien grassouillet ! Mmmmh...
Et puis après ça, il y a eu Mandela. La nation arc-en-ciel. Tout le monde il allait être heureux et copain chez Nelson sourire d’avril. Tellement ça ! La fin de l’apartheid. La défaite des méchants racistes. L’égalité. One man, one vote ! Les blancs avaient été coupables du plus épouvantable péché : le racisme. Mais l’homme noir allait remettre tout ça sur le chemin de la vertu. Et en chantant du Peter Gabriel ! [...]
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