Pour qui suivait des études littéraires, fut un temps où le seul Castex que l’on connaissait – mais dont on ignorait le prénom – était un normalien, agrégé et docteur ès lettres, entre autres qualités qui entraînaient alors le respect. Tout au long de la seconde moitié du XXe siècle, ses travaux constituaient un passage obligé de la formation de générations de lycéens et d’étudiants. Après avoir absorbé les Lagarde et Michard, on passait aux Castex et Surer. Autant de volumes – un par siècle – mais en plus trapus. Détenteurs du seul brevet des collèges s’abstenir… Les ouvrages consacrés au XIXe et au XXe siècle étaient les plus prisés.
Le XXIe siècle nous offre un nouveau Castex, né alors que le premier n’était pas encore mort, et on peut y voir une preuve supplémentaire, s’il en fallait une, que le niveau, décidément, a sérieusement baissé, y compris au sein des familles gersoises. [...]
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