Votre livre se présente comme une suite de chroniques de rencontres du RC Lens à l’extérieur ou de l’équipe de France, mais aussi de visites des plus grands stades européens. Quelle arène vous a le plus marqué pour son ambiance ?
En France, le Stade Geoffroy Guichard de Saint-Étienne et le Parc des Princes me paraissent assez largement au-dessus du lot, même si ce dernier a pâti de l’évolution du PSG. À l’étranger, je retiens Croke Park, à Dublin. Le style y est très différent, plus anglo-saxon que latin, mais tout aussi fervent. Ce stade a par ailleurs une histoire très particulière puisque c’est là qu’eut lieu le « Bloody Sunday » en 1920.
Quelle église ou cathédrale vous a le plus marqué ? J’ai noté que vous ne ratiez jamais une messe en déplacement.
À vrai dire, c’est à partir de 2012 que j’ai effectivement commencé à assister à la messe chaque dimanche, y compris en déplacement. En dehors de la cathédrale de Beauvais que j’ai vue quinze années durant depuis la fenêtre de ma cuisine, je dirais que celle de Milan m’a beaucoup impressionné, même si les écrans publicitaires présents sur les côtés de l’édifice font tache. La cathédrale de Reims, découverte à l’occasion d’un match en 2012, a pris une autre dimension dans mon esprit quelques années plus tard après la lecture du roman Sire, de Jean Raspail. [...]
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