À une époque, Chloé, je t’aimais bien. Ta frange un peu sévère, ton look batcave, tes yeux pochés au khôl, tes autofictions poétiques toutes marquées du sceau du trauma?: je crois que j’étais un peu amoureux. Je t’avais même envoyé un mail du haut de mes 18 ans. Évidemment tu ne m’as jamais répondu. Je […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !