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Chronique du Covid-19 : Être et temps d’une pandémie

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Publié le

22 mars 2021

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Une année de pandémie s’est écoulée. Le 16 mars 2020, le gouvernement Philippe dût mettre en application la décision du Président Macron d’imposer à la population française un « confinement », ou plutôt une quarantaine, de deux semaines. En réalité, cette première quarantaine à échelle nationale perdurera jusqu’au 11 mai.

Depuis lors, des survivants n’ont pu pleureur leurs morts, car il était interdit de visiter les malades ou d’assister même aux inhumations, principe de précaution oblige, principe moral, certes, bien qu’aucunement juridique. Après quoi, des plaintes ont été légitimement déposées, et Jupiter fut obligé de procéder à une restructuration managériale de sa « Start-up nation » : en priorité, l’exfiltration exprès d’Agnès Buzyn du ministère de la Santé, qui devint furtivement une pathétique candidate à la Mairie de Paris pour finalement intégrer l’Organisation mondiale de la Santé, en janvier dernier. Dans le même temps, des animaux sauvages devaient être abattus dans tout le pays : des pangolins, en février, des ragondins et des rats musqués, en mai, ainsi que des visons, en novembre. Voilà un monde aux abois, totalement paniqué : le monde occidental. Parce que notre raison technicienne, ne fonctionnant plus qu’à travers les spéculations boursières, y compris sur de multiples molécules aussi inutiles qu’incertaines, n’a laissé place à aucun protocole de soins massif contre ce nouveau virus. Le voilà le « nouveau monde », le pré carré des saint-simoniens, ou autres pseudo-rois-philosophes ! Et le roi n’est même plus nu quand il n’y plus de roi, ni non plus de militaires chargés de régler l’affaire !

Parce que notre raison technicienne, ne fonctionnant plus qu’à travers les spéculations boursières, y compris sur de multiples molécules aussi inutiles qu’incertaines, n’a laissé place à aucun protocole de soins massif contre ce nouveau virus

Une année qui a révélé clairement la déliquescence des démocraties modernes. Et surtout, la fin de la politique, cette dernière n’étant plus l’art du possible. Pour résumer : « confinements », « déconfinements », fermetures, réouvertures, couvre-feu ou « confinements allégés », autant de dispositifs subrepticement coercitifs faits pour se dédouaner de ses responsabilités, pour des gouvernants tant nationaux que locaux, mais retardant l’inéluctable, puisque, comme la grippe, ce coronavirus – de souche animale depuis Wuhan, en Chine – se répand exponentiellement à domicile, donc en couple ou en famille. Sans oublier le sans-frontiérisme, le plus vile des virus sur le plan idéologique. En l’occurrence, Didier Raoult, professeur de microbiologie et actuel directeur de l’IHU-Méditerranée Infection, avait dit prédit, dès 2009, que nos sociétés ouvertes aux quatre vents ne seraient nullement en capacité de lutter contre un virus respiratoire singulièrement invasif, et, d’ailleurs, au même titre que des globalistes patentés comme, entre autres, Bill Gates, le fondateur de Microsoft. [...]

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