Depuis Matrix reloaded, la science-fiction ne se remet pas de son virage Benetton. La preuve aujourd’hui avec After Yang, drame intimiste qui fait des thèmes dickiens un napperon pour table basse. Un père tente de faire réparer le frère androïde de sa fille adoptive et découvre une inexplicable carte mémoire dans son processeur. Avec ses camaïeux de couleurs automnales et de sentiments murmurés, After Yang plaira aux amateurs cocoonés de Nature et découvertes. Comme dans le récent Swan song, un pianola synthétique, signé ici Sakamoto, leur tirera même quelques larmes en gélifiant tout. [...]
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