Le cinéma à la papa existe encore, même s’il est obligé de donner de menus gages à l’époque. Dernier exemple, El Buen Patrón qui suit le directeur d’une usine familiale de balances, une semaine avant l’obtention d’une récompense régionale. Dans un numéro millimétré, Javier Bardem imagine Jean Gabin forcé de composer avec la satire sous couvert des catastrophes qui s’abattent sur lui. Si le scénario essaie de le faire tomber de son piédestal, la mise en scène lui redonne de l’assise. [...]
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