Quintessence à contretemps du cinéma d!Arnaud Desplechin, Frère et sœur bouillonne comme un chaudron familial où les névroses se mythifieraient dans les fétiches culturels (Kafka, Joyce, Cassavettes). Seul problème, son romanesque à la louche est servi avec les habituels effets d'ironie qui empêchent toute adhésion à l’histoire au point même d’en gâcher la réception comme par exemple la prise de son souvent déficiente contredisant l’exhibitionnisme hystérique des sentiments. La fluidité du montage permet d’occulter en partie l'inanité de tout ce tralala crypto-incestueux.[...]
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