Dans un TGV espagnol, une éditrice fait la connaissance d’un psychiatre bavard qui la captive par ses récits de monomanie. Sur cette entame bunuelienne, Aritz Moreno va procéder comme le Quichotte et multiplier les histoires se ramifiant jusqu’à plus soif dans le bizarre et le scabreux. Les Avantages de prendre le train feuillette la fiction et les identités comme du Raoul Ruiz, mais sans son charme d’illusionniste. Le baroque hésite ici entre Jeunet vicelard et Gondry adulte. [...]
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