Il est étrange qu’un cinéaste turc habitué des très longs-métrages soit peut-être le descendant le plus évident d’Anton Tchekhov, maître de la nouvelle et du théâtre moderne. Les Herbes sèches peut se voir comme une variation négative sur Oncle Vania, ici un enseignant consumé par les désirs mauvais, coincé au fin fond de l’Anatolie, où il pratique la photographie amateur. [...]
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