Magdala s’ouvre sur un carton qui annonce une rêverie sur les derniers jours de Marie-Madeleine dans une forêt déserte. On constatera la pertinence de l’information puisqu’où que l’on s’endorme, on n’aura pas raté grand’chose au réveil. Dès les premiers plans, l’héroïne se déplace difficilement sous les fougères, comme un lamantin en pleine torpeur. Diluant son sujet dans la proximité, Damien Manivel colle trop son actrice et ne compose pas assez avec le cadre. [...]
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